L’immense majorité des photos prises ne sera jamais partagée en ligne. Floues, trop intimes : elles dorment dans nos téléphones, mémoire discrète d’une vie qui résiste à la mise en scène permanente.
Il me semble qu'il y a un troisième espace entre le prive/ personnel et le publié: toutes ces images qui flottent au sein de comptes familiaux ou de fils amicaux, partafgés et stockés au gré des uploads aléatoires générés par des dispositifs de plus en plus immaîtrisables car complexe et variables. Pourquoi le meme idiots envoyés sur une converstion whatsapp par un ami se retrouve t il stockés dans mes images, encombrant ma bibliothèque et ma memoire, tout en ouvrant la porte à une redecouverte aléatoire
Il me semble qu'il y a un troisième espace entre le prive/ personnel et le publié: toutes ces images qui flottent au sein de comptes familiaux ou de fils amicaux, partafgés et stockés au gré des uploads aléatoires générés par des dispositifs de plus en plus immaîtrisables car complexe et variables. Pourquoi le meme idiots envoyés sur une converstion whatsapp par un ami se retrouve t il stockés dans mes images, encombrant ma bibliothèque et ma memoire, tout en ouvrant la porte à une redecouverte aléatoire
et bien je n'y avais pas pensé. Comme si 2 intimités se mélangeaient dans un nouveau construit, pas hyper volontairement choisi.
Je vais me plonger dans le sujet...